Brussels Blockchain Week – L’évènement à ne pas rater !

La semaine prochaine, du 5 au 11 juin, Bruxelles accueillera la deuxième édition du plus grand événement Web3 de Belgique, la Brussels Blockchain Week. Au programme, de nombreuses conférences, hackathons, formations et démonstrations.

Au total, 56 conférenciers sont répertoriés sur le site Web de l’événement. Là, l’adjoint et co-fondateur de la démo Christophe de Beekeler, Christophe de Beekeler, le premier homme politique européen à convertir son salaire en Bitcoin, le président de l’ADAN Faustin Fleuret, le directeur général adjoint de Bpifrance Arnaud Cordou ou encore Ondrej Kovalik sont présents. Sous-secrétaire adjoint de l’Union européenne, membre du Comité économique et monétaire.

Christophe De Beukelaer a défendu une vision pour l’écosystème et a estimé que c’était aussi l’un des messages de l’événement.

« Je crois fermement qu’à côté du monde financier centralisé, qui a ses avantages et doit continuer à exister, un monde financier décentralisé basé sur les crypto-actifs doit exister. Il rendra la finance plus accessible, plus transparente et plus démocratique. Comme il y a un pouvoir et un contre-pouvoir en politique, il faut un pouvoir et un contre-pouvoir en finance. Non pas pour éliminer ou écraser le pouvoir en place, mais pour l’équilibrer, le guérir de ses propres maux. »

Brussels Blockchain Week – La régulation de l’écosystème

Avec le lancement récent de MiCA et TFR, une part importante de la Brussels Blockchain Week sera consacrée à la régulation des écosystèmes. Ce sera le sujet de la conférence qui se tiendra du 7 au 8 juin.

De plus, une autre partie de l’événement accueillera des entrepreneurs Web3 tels que le PDG de Kaiko, Ambre Soubiran, et le co-fondateur d’Angle Protocol, Pablo Veyrat. Raul Ullens, co-fondateur de l’événement, a exprimé la volonté de l’organisation d’équilibrer le programme :

« La qualité des intervenants est notre priorité absolue pour la réalisation de la Brussels Blockchain Week. Notre souhait est d’avoir un équilibre presque parfait entre le monde entrepreneurial du Web 3.0 et de la politique et de la régulation. »

L’objectif est donc de couvrir autant de parties différentes de l’écosystème que possible, toujours dans le but d’augmenter la visibilité de l’écosystème. Pour le programme complet et pour réserver des billets, visitez le site Web de la Brussels Blockchain Week.


Les jeux de blockchain pourraient valoir plus de 300 milliards de dollars d’ici 2030

Brussels Blockchain Week - Les jeux de blockchain pourraient valoir plus de 300 milliards de dollars d'ici 2030

Selon le rapport, la popularité croissante des jeux blockchain est en grande partie due à un facteur. C’est le fait que vous pouvez posséder les éléments du jeu. En fait, dans les jeux « classiques », les utilisateurs ne possèdent pas eux-mêmes les actifs numériques, mais des objets de collection, des badges, etc. L’utilisation de la blockchain rend cela possible, notamment grâce aux jetons non fongibles (NFT).

Le rapport indique également que c’est le monde virtuel Metaverse qui offre l’expérience de jeu la plus immersive et décentralisée.

« Dans un metaverse dédié au jeu, les joueurs peuvent explorer, interagir et participer à des activités variées au sein du monde virtuel. »

Des options de gouvernance sont également ouvertes aux joueurs, dont certains sont moins soumis aux décisions unilatérales des studios et des équipes de développement.

La DeFi comme moteur d’adoption

L’intégration de la technologie de la finance décentralisée (DeFi) est également considérée comme un moteur de croissance clé. En particulier, le modèle « Play to Earn » sera davantage développé.

« [Les protocoles DeFi] permettent aux joueurs de monétiser leur temps et leurs compétences, et cela permet de créer une expérience de gaming plus engageante et plus gratifiante. »

Sans surprise, Ethereum (ETH) dominera également le marché en 2022. La blockchain connecte encore de nombreux projets d’envergure, et sa communauté de développeurs est particulièrement active. En matière de localisation de jeux, la région Asie-Pacifique est la plus active en matière de création de contenu.

C’est un point déjà souligné dans une étude récente de CoinGecko. Elle a souligné que si l’intérêt pour les jeux blockchain est majoritairement en Asie, ce n’est pas le cas en Europe. L’une des raisons est que le sujet des jeux blockchain est encore très controversé. Cependant, comme le souligne le rapport, l’intérêt potentiel est là et le domaine devrait continuer à se développer.


Au Canada, l’échange de crypto-monnaie Bybit ferme la plateforme en raison de réglementations trop restrictives

Brussels Blockchain Week - Au Canada, l'échange de crypto-monnaie Bybit ferme la plateforme en raison de réglementations trop restrictives

Il y a deux semaines, Binance a annoncé la fin du service au Canada. C’est maintenant au tour de Bybit. L’échange de crypto-monnaie basé aux Émirats arabes unis a annoncé la fermeture de sa plateforme aux Canadiens.

À compter d’aujourd’hui, la société, dirigée par Ben Zhou, n’acceptera plus les ouvertures de compte de citoyens nord-américains. Pour nos clients, le financement et l’injection de liquidités dans les positions ouvertes prendront fin le 31 juillet 2023.

Par la suite, les utilisateurs canadiens de Bybit auront jusqu’au 30 septembre 2023 pour fermer leurs positions ou la plateforme fera face à une liquidation forcée. La société est sur le point de quitter les provinces canadiennes en raison de politiques qu’elle juge trop restrictives pour le secteur de la crypto-monnaie, comme expliqué dans une annonce récente sur son blog.

« L’objectif principal de Bybit a toujours été de faire fonctionner notre entreprise conformément à toutes les règles et réglementations pertinentes au Canada. À la lumière des récents développements réglementaires, Bybit a pris la décision difficile mais nécessaire de suspendre la disponibilité de nos produits et services. »

Aujourd’hui, les géants de l’industrie s’interrogent sur leur avenir au Canada. Conséquence directe de multiples faillites dans un marché baissier, la nouvelle réglementation sur les actifs numériques de février 2023 a introduit des règles restrictives pour les entreprises.

Réglementation des entreprises : un enjeu de souveraineté ?

Entre l’attitude agressive du président américain de la Securities and Exchange Commission (SEC), Gary Gensler, l’élaboration d’une législation paneuropéenne (MiCA et TFR) et l’ouverture récente des crypto-monnaies de Hong Kong, la première puissance mondiale a : en position Des actifs financiers qui déplacent leurs pions dans le domaine numérique.

Si certains élus et institutions ont activement débattu de la manière de favoriser l’innovation en créant des cadres juridiques adaptés aux entreprises et à leurs services, ils ne sont pas tout à fait clairs sur le statut juridique des crypto-monnaies. Certaines institutions ont une ambiguïté juridique.

Cette deuxième situation est typique des pays nord-américains. Même aux États-Unis, les considérations relatives aux crypto-monnaies restent obscures, aucune législation n’expliquant comment les crypto-monnaies doivent être réglementées.

Certains régulateurs affirment que ces actifs sont des titres, tandis que d’autres défendent les crypto-monnaies comme des marchandises. En conséquence, il y a eu plusieurs procès entre la SEC et des acteurs de l’industrie tels que Ripple et Coinbase.

Au Canada, la politique de crypto-monnaie évolue dans une direction similaire. Avant Binance et Bybit, c’est l’échange dYdX qui s’est retiré de la région en avril de l’année dernière en raison des lois de restriction adoptées en février dernier.

La situation profite à l’Europe, qui a élaboré à partir de zéro des réglementations spécifiques pour les crypto-actifs et les sociétés liées, et souhaite attirer des entreprises d’influence et de prestige internationaux dans son pays d’origine.

En France, grâce aux politiques gouvernementales, Binance et Crypto.com ont installé leur siège européen à Paris. De même, l’émergence des licornes françaises (Solare et Loisirs) et le financement public des start-up (grâce à Bpifrance) sont essentiels pour aider le pays à s’affirmer au sein de l’Union européenne et même au niveau mondial, c’est un atout.


La crypto de la semaine – Injective (INJ)

Brussels Blockchain Week - La crypto de la semaine - Injective (INJ)

Injective Protocol (INJ) est un projet financier décentralisé axé sur la fourniture d’outils de négociation de produits dérivés aux utilisateurs. À cette fin, Injective a développé un DEX qui fonctionne entièrement sur des chaînes latérales avec des capacités inter-chaînes qui offrent une évolutivité élevée et de faibles coûts opérationnels.

La chaîne latérale injective est construite à l’aide du SDK Cosmos. Ces outils de développement du réseau Cosmos permettent à Injective de remplir sa mission tout en s’inscrivant dans ce vaste écosystème.

Avec un Market Cap de €599,907,353, un prix à €7.50, le cours subit cette semaine une augmentation de 24.90%, le faisant monter à la 67ème place du classement CoinMarketCap.

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Cet article n’est pas un conseil d’investissement. Faites vos propres recherches avant d’investir sur le marché des crypto monnaies.

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